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Le Marché San Martin et les Objectifs du Développement Durable

ODD

En septembre 2015, l'Assemblée Générale des Nations Unies (ONU) a adopté l'Agenda 2030 pour un Développement Durable, qui reprend 17 Objectifs de Développement Durable (ODD), qui fixent des objectifs clairs à atteindre avant 2030 et devant être assumés par des organismes tant publics que privés.  

L'objectif est clair : il s'agit d'éradiquer la faim dans le monde tout en assurant la formation de sociétés durables. Les 17 ODD sont les suivants:

Notre engagement envers les ODD

Par ce nouvel agenda, les Nations Unies reconnaissent le rôle essentiel et intégral que le secteur privé est appelé à jouer pour obtenir des résultats en matière de développement durable.

tant donné que les entreprises sont à même d'apporter une contribution majeure à l'obtention des ODD, le Marché San Martin propose, pour s'adapter à une société plus durable, d'assumer les Objectifs de Développement Durables suivants:

  • Hambre ceroObjectif 2 Zéro faim En finir avec la faim, assurer la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition; promouvoir l'agriculture biologique.
  • Igualdad de géneroObjectif 5 Égalité de genre Assurer l'égalité entre les genres et assurer l'autonomie de toutes les femmes, adultes et enfants.
  • Agua limpia y saneamientoObjectif 6 Une eau propre et l'assainissement Garantir la disponibilité et une gestion durable de l'eau et l'assainissement pour tous.
  • Energía asequible y no contaminante Objectif 7 Une énergie accessible et non polluante assurer l'accès à des énergies accessibles, fiables, durables et modernes pour tous.
  • Trabajo decente y crecimiento económico Objectif 8 Un emploi digne et la croissance économique Promouvoir une croissance économique soutenue, inclusive et durable, un plein emploi productif et un emploi digne pour tous.
  • Producción y consumo responsables Objectif 12 Production et consommation responsablesGarantir des règles de production et de consommation durables.
  • Acción por el climaObjectif 13L'action pour le climatGarantir des règles de production et de consommation durables.

Nos efforts en matière d'ODD

Voici les mesures concrètes sur lesquelles travaille le Marché San Martin:

Alimentación y nutriciónAlimentation et nutrition

  • Promotion d'une alimentation saine et de modes de vie favorables à la santé
  • Normes de qualité et sécurité alimentaire de haut niveau
  • Engagement contre le gaspillage alimentaire

Alimentación y nutriciónPour un approvisionnement durable

  • Contrôle de fournisseurs durables
  • Programmes de collaboration et d'amélioration

Alimentación y nutriciónChangement climatique

  • Campagnes de sensibilisation visant les consommateurs
  • Efficacité énergétique
  • Notre consommation d'eau est basée sur des critères de responsabilité.
  • Programmes visant à réduire l'impact environnemental de l'entreprise
  • Amélioration des habitudes d'hygiène des employés, des fournisseurs et de la communauté
  • Une gestion correcte des déchets

Alimentación y nutriciónAspects sociaux

  • Engagement envers le personnel
  • Santé et sécurité au travail
  • Formation et progression professionnelle
  • Diversité et égalité des chances
  • Conciliation de la vie professionnelle et personnelle
  • Respect des droits collectifs
  • Mise en autonomie de la femme dans les médias du marché

Alimentación y nutriciónConsommation 

  • Promotion de la consommation responsable

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Jabi Loiarte-Lizardi Baserria

Actions durables

La consommation de légumes bio poursuit son essor d'une année sur l'autre

Au milieu des laitues, blettes et poireaux de son jardin bio, Jabi Loiarte joue de la guitare et arrache des sourires aux clients du marché. « J'ai quitté mon emploi pour venir travailler la terre de ma belle-mère et j'en suis enchanté. Tous nos clients se sentent concernés par la durabilité et ils apprécient de consommer des produits respectueux de l'Environnement. »

Jabi Loiarte est le porte-drapeau de la ferme Lizardi Baserria au Marché San Martin. Il travaille néanmoins main dans la main avec son beau-frère Joxan depuis près de 20 ans. Ils ont tous deux quitté leur emploi pour revenir vers la terre. « Nous avons repris le flambeau des beaux-parents sur l'exploitation. Ils travaillaient en agriculture conventionnelle mais, moi, je n'avais pas envie de manger des poireaux de mon jardin à base de produits chimiques et nous avons décidé de miser sur l'agriculture biologique » raconte Jabi Loiarte. Les débuts furent difficiles. Tout était nouveau. « La grand-mère nous a beaucoup aidé. Elle nous a appris à travailler ! »

Depuis lors, sur l'exploitation maraîchère de Lizardi Baserria, les deux paysans préparent leurs propres engrais à base d'herbes et de minéraux pour nourrir la terre et protéger leurs cultures des ravageurs et des maladies. « Nous travaillons la terre sur un mode artisanal et, pour la nourrir, nous fabriquons notre propre compost, ajoute-t-il. » 

L'abondance est de mise sur le stand de Jabi. « Nous vendons surtout des légumes mais aussi des œufs, quelques fruits, des pois chiches, des lentilles, du miel, du pain... Tous nos produits sont bio et de saison. Ils viennent de chez nous et, en hiver, on fait également venir des choses de différents endroits mais toujours en bio. L'été, la grande majorité des produits sont de la maison. Même si les débuts furent difficiles, nous sommes très satisfaits des ventes ; chaque année, nous voyons la consommation augmenter. Tous nos clients se sentent concernés par la durabilité et ils apprécient de consommer des produits respectueux de l'Environnement. En outre, nous livrons deux groupes de consommateurs à Donostia. »

Destacado: « Nous avons commencé il y a près de vingt ans à travailler en agriculture biologique dans notre ferme Lizardi, à Astigarraga. Tous nos fruits et nos légumes sont issus de l'agriculture biologique. »

Lizardi. Niveau 0. Produits du terroir
www.lizardibaserria.com

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Shopping au marché de Pâques à San Martin

Êtes-vous à Donosti cette Pâques? Nous avons un plan pour vous! Les jeudi 18 et vendredi 19, passez par la galerie centrale de San Martín et faites du shopping au marché de Pâques. Environ 20 magasins de mode de la ville participeront à cette initiative des boutiques de Saint-Sébastien aux côtés du cluster Donostia Moda, du Fomento de San Sebastián et de la Federación Mercantil.

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Rosbif grillé avec des asperges Voir plus
Pinaziz egindako ajoblanco otarrainxkarekin Voir plus
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Le nouveau bar pop-up de Mimo aux halles San Martin

Mimo San Sebastián atterrit aux Halles San Martín avec un émouvant bar pop-up temporaire, aux produits de saison préparés avec grand soin. Ce n'était qu'une question de temps que Mimo San Sebastián renforce son lien avec la cuisine de saison et offre le plaisir de goûter le produit local dans son lieu d'origine.

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Camembert au four avec de la confiture d’oignons Voir plus
Pinaziz egindako ajoblanco otarrainxkarekin Voir plus
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Desfile en San Martín con el Clúster Donostia Moda

Dans le cadre d’un Gastropot spécial, les Halles San Martin accueilleront, le jeudi 14 mars à 20:00 h, un défilé de mode qui marquera le début d'une nouvelle édition de #DonostiaMarket, la Foire du Commerce de Donostia/San Sebastián.

Il s’agit du premier défilé organisé dans les Halles, auquel participeront plusieurs établissements de la ville, encadrés par le Cluster Donostia Moda de Fomento de San Sebastián

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Almadrabazko hegamotza tartar erara Voir plus
Camembert con cebolla morada Voir plus
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Tous les mois, Gastromundiala à Gastropote

Gastropote arrive avec des nouveautés en 2019. Chaque mois, nous célébrerons un GastroMundiala dans lequel musique, pintxos, boisson et décoration s'inspireront d'un pays. Cette aventure commence en février dans nos antipodes en Australie. Mais on va vous apporter la cuisine typique d'autres pays tels que le Japon, l'Allemagne, les États-Unis, l'Irlande ou la Belgique. Voyagez avec GastroMundiala sans quitter San Martín!

 

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Ostras gratinadas con paleta ibérica Voir plus
Camembert con cebolla morada Voir plus
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Marina González, ganadora de la cesta de San Sebastián

Marina González es la ganadora de la cesta de San Sebastián, valorada en 400 euros. Marina ha sido una de los cientos de personas que ha participado en la segunda edición del concurso ‘¿Cuánto sabes de la Tamborrada?’. ¡Enhorabuena y que lo disfrutes mucho!

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Ceviche de daurade Voir plus
Babarrun txuri krema odolki tostarekin Voir plus
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Participez au concours 'Que savez-vous de la Tamborrada ?'

À l'occasion de la fête du patron de la ville, Saint Sébastien, nous lançons un jeu-concours pour tester ce que vous savez de la Tamborrada. Nous vous invitons à y participer. Vous pouvez gagner un panier de produits de nos Halles évalué à 400 euros.

Participer est très facile :

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Espaguetis de tinta de calamar con txipirones y guindilla Voir plus
La Gastro-receta de San Martín Ur irakinetan egindako arrautzak trufarekin Voir plus

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Aurora Boreal

L’aurore boréale illumine les Halles San Martin

Le phénomène de l’aurore boréale, qui, dans les cultures orientale et occidentale, est lié aux serpents et aux dragons dans le ciel, est un processus atmosphérique typique du Pôle Nord, qui apparaît parfois exceptionnellement à d’autres endroits du monde. Cette année à Noël, vous pourrez le contempler dans l'allée centrale des Halles San Martin, grâce à une installation lumineuse novatrice conçue par le studio d'architectes Raz de Donostia/San Sebastián.

Les jeunes et talentueux auteurs de cette création artistique voulaient aller au-delà des lumières de Noël classiques et s’approcher, à l’aide de la technologie, de l'informatique et du design, de l’idée des « Winter Lights Festivals » d’Europe du Nord et d’Amérique.

Avec une production entièrement artisanale, à laquelle ont participé des forgerons et des électriciens, les créateurs ont profité de la hauteur de l’allée centrale des Halles pour installer cette œuvre de 40 mètres de long, composée de 28 fils lumineux, dont l’éclairage est contrôlé par ordinateur.

L’inauguration de l’œuvre Aurore Boréale a eu lieu le 1er décembre dernier, à l’occasion de l’allumage des lumières de Noël de Donostia/San Sebastián, et elle restera dans l’allée centrale des Halles San Martin pendant tout l’hiver.

 

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Les gens d'intérêt

Nerea Garmendia

Actriz

“El éxito es poder dedicarme a mi profesión”

Al borde de los cuarenta años, y tras dos décadas dedicada a la interpretación, la actriz donostiarra NEREA GARMENDIA irradia felicidad y buen rollo. Sin dejar de sonreír durante toda la entrevista, anuncia sorpresa: “Voy a desvirgarme como
monologuista. Es lo único que me faltaba por hacer profesionalmente”. Entrevista de Estibalitz Ortega Arsuaga

COMIENZAS EN BREVE, EN SAN SEBASTIÁN, EL RODAJE DE LA QUINTA TEMPORADA DE ‘ALLÍ ABAJO’. ¿CÓMO LLEVAS TU PARTICIPACIÓN EN UNA DE LAS FICCIONES CON MAYOR AUDIENCIA DEL MOMENTO?

¡Con muchísima ilusión! Es la única serie nacional que alcanza esta cifra en la última década y eso es un lujo. Hoy en día, viendo cómo, afortunadamente, está el mercado, con tantas plataformas y tantas series online, es maravilloso poder formar parte en un proyecto así. La ficción está cambiando y se están empezando a hacer series de 50 minutos de duración. ‘Allí Abajo’ se une a la reducción del minutaje y pasamos de 70 minutos a 50. Tendrá más ritmo y acabará a una hora prudente para que el público pueda descansar

¿ES, QUIZÁ, TU PROYECTO MÁS EXITOSO A NIVEL NACIONAL?

He tenido mucha suerte en mi profesión, porque he participado en tres proyectos de mucho éxito que han sido ‘Vaya Semanita’, ‘Los hombres de Paco’ y ‘Allí abajo’. Cada uno me ha aportado algo distinto. ‘Vaya Semanita’ con su formato de sketches y sin pelos en la lengua, marcó un antes y un después en la historia de la televisión. ‘Los hombres de Paco’ fue muy importante, ya que fue la primera serie, a nivel nacional, en la que participaba en prime time y fue un gran reto. Y ‘Allí abajo’ ha sido un regalo maravilloso, no solo por el proyecto, sino por la calidad humana que hay en todos y cada uno de los miembros del equipo. Somos como una gran familia. Además, me ha permitido reencontrarme con compañeros de ‘Vaya Semanita’ como Óscar Terol, Maribel Salas, Gorka Otxoa, Santi Ugalde, Elisa Lledó... ¡Estamos casi el reparto entero de la primera temporada de Vaya Semanita, algo que parecía irrepetible! Me ha permitido recuperar el romanticismo de esta profesión. Me siento muy afortunada.

¿QUÉ TAL ESTÁ GOTZONE, EL PERSONAJE QUE INTERPRETAS?

Gotzone ha sido un regalo para mí. Es de esos personajes que tienen muchos colores, que te permiten jugar. Es un personaje que ha evolucionado mucho. Cuando llegó en la tercera temporada era muy dura, competitiva, con poca empatía... pero en la cuarta temporada hemos podido comprobar que era sólo una coraza y que ha resultado tener un gran corazón. He aprendido mucho con ella. ¡La amo! [risas]

¿A QUÉ SABE EL ÉXITO?

Para mí el éxito es poder dedicarme a mi profesión. Es verdad que cuando trabajas en series de éxito te ven millones de personas y tienes mucha más proyección. Sin embargo, para mí también es un éxito poder hacer obras de teatro aunque te vea menos gente. Estoy feliz después de 20 años de carrera. He vivido todo lo que creo que, profesionalmente, se puede vivir y me siento afortunada de seguir en activo. He hecho teatro, televisión, cine y estoy en un momento pleno.

‘VAYA SEMANITA’ FORMA PARTE DE LA HISTORIA TELEVISIVA DE ESTE PAÍS. ¿TE SIGUEN RECORDANDO POR TU PASO POR ÉL?

Sí, y me hace mucha ilusión porque es un programa mítico y la gente lo recuerda con mucho cariño. Fue un espacio especial tanto para quienes lo hicimos como para los espectadores. Todavía me paran para decirme: “Anda, tú eres la de ‘Vaya Semanita’”. En Sanfermines es donde más me lo recuerdan [risas]

TRAS 20 AÑOS DEDICADA A ESTO, ¿QUÉ ES LO MÁS IMPORTANTE QUE HAS APRENDIDO?

Pues yo diría que con el tiempo lo que he aprendido tanto por trabajo, como por experiencias personales que una va teniendo, es a identificar lo que realmente es importante y a regar lo que una quiere que crezca. Es decir, a quedarte con lo que realmente quieres y te importa y saber decir que no a lo que no es importante.

SUENA A REFLEXIÓN VITAL. ¿ES PORQUE TE ENCUENTRAS AL BORDE DE LOS TEMIDOS 40?

Es verdad que me queda poco para los 40, pero no tiene tanto que ver con la edad, sino con cosas que me han ido pasando. Muchas veces he dejado de hacer cosas que para mí son importantes, como estar con mi gente, por temas que no lo eran tanto. Se trata de quedarte con lo que te aporta y apartar lo que no te hace crecer.

HACE POCO ANUNCIASTE EN TU CUENTA DE INSTAGRAM QUE TENÍAS NUEVOS PROYECTOS. ¡CUENTA, CUENTA!

Me voy a lanzar al mundo del Stand Up Comedy, o lo que es lo mismo, voy a desvirgarme como monologuista [risas]. Es un mundo que respeto muchísimo, mi asignatura pendiente y lo único que me faltaba dentro de la interpretación.

¿Y CUÁNDO? ¿CÓMO? ¿POR QUÉ?

En febrero me estreno en Burlada (Navarra), pero no vengáis [mucha risas] que es el primero, mejor cuando lleve un rodaje. Llevaba ya varios años con esta idea en la cabeza. Hice una obra de teatro, ‘Te elegiría otra vez’, escrita y dirigida por Sara Escudero en la que mi personaje tenía un speech. Lo disfrutaba tanto que mis compañeros me animaron a hacer monólogos, me decían que seguro que se me daba bien. Dejé la idea aparcada pero no olvidada… Hace unos años participé en el programa de ETB ‘Gente Seria’, en el que hice un monólogo de unos diez minutos en el que me lo pasé genial, aunque era un texto que venía dado y no tenía nada que ver conmigo. Entonces me planteé que alguna vez me prepararía un texto relacionado conmigo. El destino tocó a mi puerta con ‘Los Monólogos de Aupa y Olé’ donde participan compañeros de ‘Allí abajo’ y mira, me he animado.

¿TE GUSTAN LOS RETOS?

¡Sí! Me exijo mucho a mí misma. En este caso, plantarme ante el público, sola, sin más armas que mi cuerpo y mi voz, sin escenografía... y si se ríen bien y si no, la función debe continuar... ¡eso es adrenalina pura! Considero que es lo más difícil que puede hacer un actor, porque no te puedes agarrar a nada! El día del estreno va a ser muy especial para mí porque voy a estar con Sara Escudero. Ella hará un monólogo y yo otro. Ella me animó a entrar en este mundo y nadie mejor con quien arrancar esta nueva aventura.

¿Y TE PODREMOS VER EN SAN SEBASTIÁN?

Seguramente sí, pero de momento, empiezo poco a poco. Haré este primero y luego analizaremos. Es un monólogo de treinta minutos que tiene mucho que ver conmigo y con mis cosas personales, el día a día. También hay algo de autocrítica y de reírse de una misma para poder reírse luego de todo lo demás. Espero que a la gente le guste.

¿QUÉ TAL VIVES EN MADRID?

Bien, llevo muchos años viviendo en Madrid. Me marché joven a estudiar a Madrid, a la escuela de Cristina Rota y Alicia Hermida. Volví a Donosti para trabajar en Vaya Semanita y desde 200 vivo allí ininterrumpidamente. Estoy rodeada de buenos amigos, algunos de la profesión y otros que no tienen nada que ver con mi mundo. Pero echo mucho de menos a mi gente de Donosti.

¿ERES FAMILIAR?

Sí, mucho. Voy a Donosti siempre que puedo a estar con mis padres y amigos y tengo que decir que San Sebastián me sigue sorprendiendo. ¡Soy una enamorada de mi Donosti! No lo aprecio más ahora porque viva fuera, cuando vivía allí, era de las que cada tarde iba a la playa a pasear al perro y pasaba horas embelesada mirando el paisaje y pensando… ¡Qué ciudad más bonita tenemos!

HABLEMOS DE LA TIRANÍA DEL FÍSICO QUE VIVÍS LAS ACTRICES. ¿CÓMO LO LLEVAS?

No me interesa nada. Me preparo cuando me apetece, no cuando me lo exigen. Según como me encuentro cada día, así me visto. Si tengo un evento importante o una entrevista sí que me preparo. No necesito estar bien por fuera para sentirme bien por dentro. Me siento igual de bien con chándal que con un vestido de gala.

HABLANDO DE CHÁNDAL. PRACTICAS BASTANTE DEPORTE, POR LO QUE SE VE EN TU CUENTA DE INSTAGRAM. ¡CON UNAS GOMAS Y UN BOSU TE MONTAS UN GIMNASIO EN CUALQUIER SITIO!

Siempre he sido muy deportista. He hecho natación, tenis, spinning, atletismo... He tenido una temporada en la que no he hecho mucho deporte, porque estaba hasta arriba de trabajo pero ahora lo estoy retomando. Practico pilates, me viene muy bien para la espalda porque de pequeña tuve una operación en la columna. Y una vez a la semana entreno con un entrenador personal, Pablo, que cuida de mi espalda.

¿QUÉ RELACIÓN TIENES CON LAS REDES SOCIALES?

Nos llevamos bien pero no me va la vida en ello. Al tener un trabajo como el mío, en el que estás expuesta al público, yo entiendo que a la gente le gusta conocer a la persona, no solo a tu personaje. Me gusta recomendar lugares y productos que me gustan para mí. Pero no soy esclava de las redes. Lo bueno que tienen las redes para quienes vivimos lejos de nuestra tierra es que podemos estar al día de lo que hacen nuestros amigos y familiares.

CON TANTO TRABAJO, ¿DE DÓNDE SACAS TIEMPO, ADEMÁS, PARA TU MARCA DE ROPA BY NEREA?

ByNerea es mi bebé textil [risas]. Durante cuatro años de mi vida le he dedicado el trescientos por cien de mi vida, he rabajado el

UN DESEO PARA 2019.

Virgencita, virgencita, que me quede como estoy. Estoy en una época de gran éxito personal y no quiero que cambie nada.

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